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 Ileana ß Le problème avec le sens de l'humour, c'est la facilité avec laquelle chacun prétend en être pourvu.

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Ileana P. Dracul



Ileana P. Dracul




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Ileana ß Le problème avec le sens de l'humour, c'est la facilité avec laquelle chacun prétend en être pourvu.   Vide
MessageSujet: Ileana ß Le problème avec le sens de l'humour, c'est la facilité avec laquelle chacun prétend en être pourvu.    Ileana ß Le problème avec le sens de l'humour, c'est la facilité avec laquelle chacun prétend en être pourvu.   Icon_minitimeDim 10 Mar - 0:17

Ileana Petrova Dracul
feat. olivia wilde




► NOM(S) : Dracul.
► PRÉNOM(S) : Ileana Petrova.
► ÂGE : 1815 ans.
► DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Date de naissance inconnue en Roumanie.
► RACE : Vampire sanguinaire.
► METIER : Danseuse au Moulin Rouge.
► STATUT CIVIL : Célibataire.
► RICHESSE : Riche.
► DON : Voir les fantômes humains et vampires.
► TRAITS DE CARACTÈRE : Douce × Sarcastique × Associal × Généreuse × Violente × Fidèle × Sadique × Travailleuse.


l'histoire

Lusitania... Une bien étrange femme n'est ce pas? Médecin légiste de Vancouver, elle ne sort jamais avec des personnes et elle travaille seul. Personne ne sait rien d'elle. Après tout, elle est loin d'être bavarde. Mais bien des gens se demandent ce qu'il se cache sous les lunettes de soleil qu'elle porte la plus part du temps sauf quand elle travaille. Mais moi je peux vous le dire. Je connais tous ses secrets les plus profonds et les moins avouables. Lusitania Vasquilla Bouvier. Voilà son véritable nom. Pas seulement Lusitania Bouvier comme elle aimerait vous le faire croire. Que dire d'autres sans pour autant vous effrayer? Ah oui, elle vient de Roumanie. C'était même quelqu'un d'important dans son pays... Il y a bien longtemps maintenant.
Vous voulez en savoir plus? Alors suivez moi!


VOUS


► ÂGE : 21, presque 22
► TU VIENS D'OÙ? : France
► FRÉQUENCE DE CONNEXION : 7j/7.
► POURQUOI NS? : Parce que :2:
► T'EN PENSES QUOI? : Je l'aime
► DES AMÉLIORATIONS À FAIRE? : 'Nop
► UN DERNIER MOT? : vous n'aimes mes petits kinder Pingouin
THE CODE (a):

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Ileana P. Dracul



Ileana P. Dracul




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Ileana ß Le problème avec le sens de l'humour, c'est la facilité avec laquelle chacun prétend en être pourvu.   Vide
MessageSujet: Re: Ileana ß Le problème avec le sens de l'humour, c'est la facilité avec laquelle chacun prétend en être pourvu.    Ileana ß Le problème avec le sens de l'humour, c'est la facilité avec laquelle chacun prétend en être pourvu.   Icon_minitimeDim 10 Mar - 0:23

This animal I have become





« OUIN !!!!!! »

Mme Tcheponovra ouvrit les yeux et regarda le petit corps ensanglanté qu’on venait de lui poser sur le ventre. Après plus de douze heures de travail, elle venait de donner naissance à une petite fille, à moi. Vasquilla Tcheponovra, première du nom. Vous devez connaitre ma mère. Natalìa Tcheponovra, comtesse du compté de Avery. Et membre de la cours du roi de Roumanie. En effet, je suis roumaine. Mais pour l’instant, je préférais brailler ma joie de vivre et chercher le lait dans le sein de ma mère. Cette dernière me prit dans ses bras et s’installa un peu plus confortablement sur son lit dans le château royal. Et non, on n’était pas logé à la petite enceigne dans la famille. Mon père ? Oh, il était à ses côtés et me couvait d’un grand regard empli d’amour comme un père en éprouve pour sa première née, sa petite princesse. J'aurais bien le temps plus tard de vivre la tristesse. J'étais pour l'instant un beau bébé plus intéressé par ma goutte de lait que par une goutte de sang. C'est alors que la porte s'ouvrit et que le roi de Roumanie entra dans la chambre, Stefan et Vladimir toujours à ses côtés. Je ne l'apprendrais que bien plus tard mais s'est ce jour là que Stefan tomba amoureux de moi, simple petit bébé d'à peine quelques minutes avec un seul avantage: mes grands yeux marrons aux pépites d'or qui firent de suite tombé le roi sous mon charme. J'étais le premier bébé né à la cours et je devins vite la favorite du monarche. Je finis par m'endormir contre la poitrine de ma mère, repue t heureuse d'être sur terre.

J'ouvris les yeux et mon regard se posa sur le plafond au dessus de mon lit. Incapable de me rendormir et après avoir compté qu'il y avait 326 lattes de bois pour composer le plafond, j'écartais les rideaux de mon lit à baldaquin. Je me dirigeais vers la chaise où ma robe de chambre était posée et l'enfilait sur mon corps nu. Aujourd'hui, je fêtais mon 18e anniversaire et un bal était donné en mon honneur. Après tout, j'étais la favorite du roi même si ce terme n'a plus la même signification que lorsque l'on parle de la favorite de Louis 14. A mon époque, ce terme n'avait aucun sens sexuel comme il a pu en avoir à d'autres époques. Enfin bref, tout cela pour dire qu'aujourd'hui, j'allais me laisser chouchouter par les dames de compagnie. Je savais déjà ce que j'allais mettre, ayant choisit ma robe la veille avec l'aide des dames du château. C'était une robe bleue, aux longues manches de soie blanche, un touché que j'affectionnais particulièrement. Mais pour le moment, j'étais simplement assise devant ma psychée, à regarder mon reflet dans l'étrange surface. Un bruit se fit entendre à ma porte et Vladimir pénétra dans ma chambre. Ce personnage m'avait toujours inspiré confiance mais aussi peur. Je n'arrivais pas à expliquer cet étrange pressentiment mais je savais qu'il était dangereux pour moi. Mais c'était son ami, Stefan, qui me faisait encore plus cet effet, accompagné de quelque chose que je n'arrivais pas à décrire. Mais se n'était surement pas pour parler de Stefan que Vladimir était entré dans ma chambre. Que me voulait il donc cet homme, le jour le plus important de ma vie?

« Bonjour sir Vladimir. Que vous amène-t-il donc dans ma demeure en ce si triste jour ?
_ Triste journée ? Pourquoi dis tu cela petite Tcheponovra , toi qui entre dans la vie adulte ?
_ Pour moi, cela signifie plus devoir épouser un homme que mes parents auront choisis plutôt que celui que j’aurais espérer aimer.
_ Eternelle petite romantique que tu fais. Mais peut être finiras tu par aimer cet homme qui t’es certainement déjà promis.
_ Que voulez vous dire ?
_ Tu le découvriras bien assez tôt petite. Allez bonne anniversaire Vasquilla. De ma part et celle de Stefan.
_ Stefan ?
_ Il ne cesse de s’intéresser à toi et sur tout ce que tu entreprends…
_ Pourquoi ?
_ Réfléchit un peu petite, et tu comprendras ce que tu ne veux pas croire… »

Je n’avais jamais compris mes discussions avec Vladimir. Il était très énigmatique dans tout ce qu’il disait et je n’avais pas encore l’expérience pour le comprendre. Le suivant du regard alors qu’il sortait de ma chambre, j’essayais de comprendre ce qu’il m’avait dit vis-à-vis du si surprenant Stefan. Et voilà que je continuais à penser à lui… Pourquoi ? Je préférais ne plus penser au jeune homme et me concentrer sur la journée à venir. D’ailleurs, mes dames de compagnies vinrent vite me préparer et je fus prête seulement une heure avant le début du bal. Une journée entière pour me préparer… Pire que la reine. Je fis mon entrée dans la salle de bal après avoir passé une heure a subir les pleurs et les cris de joies de ma mère. Ce qu'elle pouvait être gonflante par moment.

Le bal se passa assez vite. Après avoir eu mes 18 ans, je fus inviter à danser par le roi mais aussi par mon père et par Vladimir. Alors que j'allais essayer de m’éclipser de la fête donné en mon honneur, une main se posa sur ma hanche. Me retournant, j'eus un souffle au coeur en voyant que c'était le prince en personne venait de me retenir de partir pour m'inviter à danser d'après lui. C'est ce jour là, après cette danse d'ailleurs, que je tombais amoureuse du prince. Du moins, je pensais être amoureuse de lui. Notre histoire dura tout juste 1 an avant qu'il ne me quitte pour sortir avec ma pire ennemie, une aristocrate qui avait faillit détruire ma soirée d'anniversaire. Si bien que je me mis à haïr le prince. Si fort que sans m'en rendre compte, je me retrouvais dans l'arrière cour d'une maison de sorcière au beau milieux de la forêt à attendre deux flacons de poison pour le prince et pour moi même. Une fois les deux flacons en ma possession, je retournais en vitesse au palais et me rendis dans les cuisines pour emmener moi même le déjeuner au prince. Je profitais d'être ainsi seul pour glisser le poison dans le verre de lait du prince. Je laissais un serviteur l'emmener au prince, pour que les soupçons ne se portent pas sur moi. Je m'enfermais dans ma chambre, attendant le feu vert des habitants du château pour ingurgiter ma flasque de poison. Très vite, des hurlements se firent entendre dans tout le château et je pus ainsi avaler le poison moi même. Je me fichais pas mal de mourir maintenant. Alors que je sentais le poison faire son effet, la porte de ma chambre s'ouvrit et Stefan pénétra dans ma chambre. La dernière chose que je vis avant de sombrer dans l'inconscience, se fut le regard protecteur dont Stefan me couvait alors qu'il me sortait de ma chambre, blottit dans ses bras.

Je ne sais combien de temps je restais ainsi évanoui mais je sais que je ressentis assez vite une profonde brûlure au sein de mon corps. J'aurais du éviter d'avaler ce poison maintenant que je ressentais maintenant. Je ne savais pas qu'en réalité c'était "l'antidote" qui allait me permettre de revivre qui ruisselait dans mes veines, me faisant renaître. Après avoir souffert pendant une période qui me donna l'impression de durer un siècle, j'ouvris les yeux sur un plafond en bois que je ne connaissais que trop bien: ma propre chambre. Je ne comprenais pas, j'aurais du être morte. Tournant mon regard, je vis trop vite arriver le regard sombre de Stefan. Il m'avait suivi en enfer. Ce dernier me redressa et porta à mes lèvres une coupelle contenant je ne sais quel liquide. Je ne remarquais qu'à cet instant que je mourrais de faim et le liquide réussit à faire taire cette faim. Je n'avais même pas conscience d'avoir retenu mon souffle que lorsqu'un souffle s'extirpa de mes lèvres alors que je venais de me rassasier. Je me redressais en vitesse et rencontrais le regard rouge sang d'une déesse dans le miroir. Qui était donc cette femme? J'allais m'approcher d'elle pour lui parler mais je remarquais assez vite qu'elle faisait les même mouvements que moi. Cela fit rire Stefan et je me tournais vers lui. C'était la première fois que je remarquais à quel point il pouvait être beau. Respirant un grand coup, une divine odeur vint me chatouiller les narines... Mais il n'y avait rien dans cette pièce qui puisse dégager une si belle odeur... Rien à part moi et Stefan... Serais ce possible que cette odeur appartienne à Stefan, cet homme pour qui je savais maintenant ce que j'avais éprouvé? Je fus assez vite fixé sur ce que j'étais devenu: une vampire, une créature buveuse de sang que l'on rencontre dans les mythes.
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Ileana P. Dracul



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MessageSujet: Re: Ileana ß Le problème avec le sens de l'humour, c'est la facilité avec laquelle chacun prétend en être pourvu.    Ileana ß Le problème avec le sens de l'humour, c'est la facilité avec laquelle chacun prétend en être pourvu.   Icon_minitimeDim 10 Mar - 0:23

I want to spend my life time loving you





Voilà maintenant un peu plus de trois siècle que je foule le sol roumain. J'ais été transformé en vampire par Stefan, le vampire dont je suis tombée amoureuse. Je n'ais pas été inquiété par le meurtre du prince roumain, les soupçons s'étaient portés sur la jeune aristocrate qui était avec lui a cette époque. J'avais été comptabilisé dans ses victimes, n'étant plus vraiment humaine. J'avais été assise entre Stefan et Vladimir d'ailleurs lors de l'exécution de la fausse traîtresse. Je n'avais aucun scrupule a regarder la mort d'une personne qui n'était absolument pas coupable... Je ne fus absolument pas sensible aux cris de la jeune femme, accusée de sorcellerie, qui mourait sur le bûcher.

Le temps fila encore plus vite qu'avant, toujours figé dans une même journée. Entre Stefan et moi, je ne peux pas dire que se fut de suite le grand amour. En faite, jamais je n'avais avoué que je l'aimais, trop contente de le faire jouer au chat et à la sourie avec moi. J'aimais le voir me courir après alors que je faisais tout pour le fuir, bien que le coeur n'y étais pas. J'aurais préféré de loin me blottir contre lui et lui dire mes véritables sentiments pour lui mais... J'étais très orgueilleuse et je ne voulais donc pas m'offrir à lui alors qu'il ne voulait pas vraiment m'avoir. Ce jeu marcha pendant 300 ans avant que je ne cède, cette fameuse journée qui aurait du être la meilleure de ma vie, 1500 ans plus tôt.

J'avais passé la nuit à regarder la lune faire son chemin dans le ciel étoilé roumain. J’étais dans mes pensées, indifférente à ce qu’il se passait autour de moi. Il s’était peut être mise à pleuvoir mais je ne le sentais pas, complètement déconnectée du monde extérieur. Je ne respirais plus, j’étais immobile, statue de couleur au beau milieu d’une forêt. Des éclairs zébraient le ciel et la pluie ruisselant sur mon visage ne me dérangeait aucunement, j’étais totalement insensibilisé au froid. Alors que je venais de me relever, je vis une lumière blanche m’entourer. Levant la tête, je vis qu’un éclair allait me frapper. Mais je ne craignais pas la foudre, ne pouvant mourir. Mais je ne comprenais pas pourquoi elle venait s’écraser sur moi alors qu’il y avait des arbres bien plus grands que moi dans cette forêt. Alors que le tonnerre retentissait, je sentis une étrange sensation dans mes mains. Les tendant devant moi, un éclaire s’en échappa et alla frapper un arbre en face de moi. Je ne venais de me rendre compte que j’avais un don… Et pas n’importe lequel : le contrôle de l’électricité. Revenant sur mes pas, je me glissais dans le château et dans ma chambre, me préparant pour le bal de ce soir. J'avais toujours les bals et savoir qu'il y en avait un prévu le soir cela me m'était en joie. Alors que j'allais de nouveau me retrouver nue mais cette fois dans ma chambre, on toqua à ma porte. Je sautais en vitesse dans ma robe de chambre, passablement en colère.

"Entrer!
_ Calme Vasquilla c'est moi.
_ Stefan... Tu veux quoi?
_ J'ais dis calme pucette.
_ Pucette?! C'est pas en m'appelant ainsi que je vais me calmer!
_ J'adore t'embêter.
_ J'ai vu! Alors accouches sur ce que tu voulais me dire et..."

Mais je ne pus finir mes paroles que les lèvres de Stefan se posèrent sur les miennes. J'étais estomaquée mais surtout heureuse. Je venais enfin d'avoir ce que je voulais sans avoir besoin de faire le premier pas. Notre baiser se fit bien vite passionné et ma robe de chambre tomba finalement sur le sol, petit morceau de soie inutile à ce qui allait suivre. La suite de la journée fut entièrement remplit de découvertes furtives et pleines d'amours. Manque de chance, avant d'aller au bout, c'est à dire la fusion de nos deux corps, une autre personne entra dans la chambre, ne prenant pas la peine de frapper. Vladimir nous regardait, un grand sourire sur les lèvres. Je l'aurais bouffé pour avoir osé nous déranger mais j'étais trop contente de ce qui s'était passé avant pour lui sauter à la gorge. Vladimir m'apprit que le nouveau roi m'envotait à la rencontre des Volturi, grande famille italienne de vampire. M'excusant auprès de Stefan, je passais une robe verte et sortis de ma chambre, non sans avoir embrassé une dernière fois mon amour.

Le voyage fut rapide même si je devais y aller à cheval. Mais arrivé sur les lieux, aucune trace des Volturi. Les animaux en moi sentait qu'une mauvaise chose allait se passer mais je ne pouvais pas comprendre ce qui se passait. Les autres personnes avec moi ne le sentaient pas non plus mais ils n'étaient que de simples humains. J'étais une vampire avec certes, une faible expérience, mais avec tout de même plus de 300 ans de vie. Mais je préférais laisser passer la journée, les vampires italiens avaient peut être un peu de retard. La journée s'écoula sans que les italiens ne donnent un seul signe de vie. Nous nous étions fait berner! Passablement énervé, je fis faire demi tour à mon cheval et nous rentrâmes en vitesse au château, espérant ne pas arriver trop tard pour ne pas manquer la fin du bal.

Mais plus nous avancions, plus le mauvais pressentiment qui m'emprisonnait le coeur grossissait. Jusqu'à ce que nous arrivions au château et qu'une lueur orange n'éclate dans le ciel. Je poussais mon cheval plus vite encore et ne pus retenir un cri de peur quand je vis que le château était en proie aux flammes. Arrivé devant le château, je cherchais du nez l'odeur que je craignais ne plus sentir. Mais rien, je ne sentais plus son odeur. J'arrivais aussi vite que possible dans la salle de bal et là, je vis qu'il n'y avait plus personne... Mise à part les corps des humains et des bûcher par ci par là pour les vampires. Je tombais à genoux, consciente que je devais surement être la dernière vampire roumaine en vie. Consciente que j'allais devoir vivre toute ma vie sans l'homme que j'aimerais toute ma longue vie. Consciente du sentiment de vengeance qui m’étreignait le coeur et qui ne disparaîtra que lorsque les Volturi seront tous mort. Sortant du château et passablement écoeuré d'être toujours en vie, je réussis néanmoins à ne pas dévorer les humains qui m'entouraient. Laissant la Roumanie derrière moi, je partis en direction de ce qui serait plus tard le République Tchèque et la belle ville de Prague.
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